- Parce que que le taux de chômage chez les jeunes dans les pays d’Afrique de l’Ouest est déjà trop élevé.
- Parce que l’Afrique de l’Ouest est en train de connaître une explosion démographique de la population jeune. Selon le Population Reference Bureau, il y a plus de 100 millions de jeunes dans la région, ce qui représente un tiers de la population totale, sachant que ce chiffre atteindra 218 millions d’ici 2050. Il y a 22,6 millions de jeunes qui arrivent sur le marché du travail chaque année. D’ici 2050, il devrait y en avoir 47 millions. Cette main d’oeuvre jeune représente un facteur potentiel de développement économique pour l’Afrique de l’Ouest mais l’explosion démographique génère également nombre de défis redoutables.
- Parce que la croissance économique des pays d’Afrique de l’Ouest n’a jamais été aussi forte et que la nature des emplois des jeunes est en constante évolution. L’insuffisance de la création d’emplois représente une sérieuse barrière au développement économique. Selon la Banque Africaine du Développement, les pays africains font partie des économies émergentes les plus dynamiques dans le monde en 2016 (8.5% en Côte d’Ivoire, 6% au Nigeria, 5% au Sénégal).
- Parce que lorsqu’il n’y a pas de travail et peu d’espoir pour un futur meilleur, les jeunes peuvent désespérer et le risque pour eux de tomber dans une spirale de violence, de radicalisme et d’implication dans le crime organisé s’accroît. Même si la majorité des groupes violents sont guidés par une certaine idéologie, le manque de travail et de perspectives rend le recrutement de nouveaux combattants beaucoup plus facile. En travaillant davantage à créer les conditions pour des emplois stables à leur jeunesse, les Etats de la région stimuleront non seulement leur économie, mais ils permettront aussi aux générations futures de ne pas sombrer dans la violence.
- Parce que les jeunes d’aujourd’hui sont aussi les leaders de demain. Même ceux qui ont bénéficié d’une bonne éducation se retrouvent trop souvent bloqués dans des emplois sans débouchés avec peu d’occasions d’utiliser toutes leurs compétences. Les premiers emplois de qualité permettent aux jeunes travailleurs de se former puis de faire une bonne carrière.
- Parce que fort taux de chômage ou de sous-emploi encourage beaucoup de jeunes à risquer leur vie à la recherche d’un emploi à l’étranger. Il s’agit ici des jeunes travaillant dans le secteur informel dans leur pays d’origine. Garder nos jeunes en Afrique de l’Ouest peut donc sauver beaucoup de vies.
- Parce que le chômage des jeunes n’est pas seulement un problème en Afrique de l’Ouest et que les stratégies développées ici peuvent être utilisées pour combattre ce fléau dans le monde entier. En effet, des taux de chômage élevés apparaissent tout au long de l’échelle des revenus. Selon l’OCDE, en 2013, l’Italie, l’Espagne et l’Afrique du Sud avaient tous des taux de chômage chez les jeunes dépassant 50%. En Espagne, ce problème a causé d’importants mouvements sociaux sous les Indignados (Indignés), qui se sont ensuite transformés en parti politique sous le slogan de Podemos (Nous Pouvous), le troisième parti le plus représenté au Parlement.
Facteurs politiques et macro-économiques
- Quels sont les facteurs structurels dans l’économie qui peuvent expliquer les taux de chômage élevés? Comment s’y attaquer?
- Les pays de la région ont-ils fait des choix de stratégie de croissance économique qui leur permettront de faire baisser leur taux de chômage ?
- Peut-on imaginer une stratégie nationale type adaptée à la région qui permette de combattre le chômage ? Quel est le rôle éventuel des partenariats entre acteurs publics et secteur privé dans une telle stratégie ? Quelles sont les politiques publiques récentes qui ont permis de créer des emplois dans la région ?
- Quelles sont les organisations (nationales et internationales) qui sont spécialisées dans la lutte contre le chômage et sont-elles efficaces? Comment pourraient-elles obtenir de meilleurs résultats ?
- Quels sont les secteurs de l’économie qui sont caractérisés par un déficit de travailleurs et qu’est-ce qui peut être fait pour orienter les jeunes vers ces secteurs ? Certains secteurs de l’économie créent-ils davantage d’emplois que les autres et les gouvernements peuvent-ils en tirer des leçons pour les secteurs qui génèrent peu d’emplois ?
- Comment peut-on changer les lois relatives à l’emploi pour rendre plus facile l’embauche de jeunes travailleurs?
- Existe-t-il des facteurs internationaux qui empêchent les Etats de la région de combattre plus efficacement le chômage des jeunes?
- Le secteur privé joue-t-il son rôle de principal créateur d’emplois dans les économies nationales et comment encourager les entreprises à faire plus pour la formation et l’emploi des jeunes ?
Education
- Des réformes profondes sont-elles nécessaires pour que les générations futures soient à la fois capables de lire et écrire, tout en acquérant des savoir-faire spécifiques qui seront requis par les employeurs ?
- Comment combler le gouffre entre la formation universitaire et le monde du travail afin que les universités enseignent aussi les compétences requises par les entreprises ?
- Des cours d’entreprenariat individuel devraient-ils être incorporés dans le curriculum universitaire et, si oui, comment le faire ?
Formation professionnelle
- Quels sont les types de formation professionnelle qui sont porteurs pour le secteur privé en Afrique de l’Ouest et quels changements doivent être introduits dans le système d’éducation et de formation?
- Le secteur privé peut-il jouer un rôle plus important dans la formation professionnelle et l’apprentissage dans les pays de la région?
Chômage de jeunes hautement qualifiés
- Quelles réformes devraient être mises en place pour que les jeunes hautement qualifiés puissent trouver un emploi en accord avec leur niveau d’éducation ?
- Une mise en valeur des stages (rémunérés et non rémunérés) peut-elle faciliter l’insertion professionnelle des jeunes ? Si c’est le cas, quel type de stage serait le plus bénéfique ?
Chômage urbain et chômage rural
- Y a-t-il une différence entre le taux et la nature du chômage dans les villes et dans les zones rurales ? Quelles politiques mettre en place pour combattre le chômage et le sous-emploi dans les zones rurales?
Secteur informel
- L’emploi dans le secteur informel doit-il être formalisé et si oui, comment?
- Quels sont les préjugés associés à l’emploi dans les activités informelles et comment peuvent-ils influencer le bien-être des jeunes employés dans ce secteur?
- Existe-t-il des politiques publiques pour soutenir les marchands ambulants et autres travailleurs informels ?
Facteurs culturels
- Certains facteurs culturels peuvent-ils expliquer le fort taux de chômage et de sous-emploi des jeunes dans la région ? Se développe-t-il une culture qui ne favorise pas la recherche de travail chez les jeunes ?
- Une mise en valeur de l’entreprenariat et du travail indépendant suffit-elle à réduire le chômage des jeunes ? Comment promouvoir une culture de la création de « start-up » ?
Genre
- Quelles sont les différences en matière de chômage et de sous-emploi entre les hommes et les femmes? Les possibilités d’emploi sont-elles plus réduites pour les jeunes femmes que pour les jeunes hommes ?
- Quelles stratégies et quels changements culturels encourager pour faire augmenter le taux d’emploi des jeunes femmes?
- Les contributions des experts des questions débattues sont bienvenues mais les observations, témoignages, points de vue et propositions de tous les citoyens le sont tout autant.
- Nous souhaitons recevoir en particulier des articles qui font référence à un ou des pays précis, s’appuient sur des exemples et qui font émerger des propositions de réforme.
- Vous êtes également invités à envoyer une courte interview audio/vidéo, ainsi qu’un récit oral de vos expériences sur ce sujet et de vos suggestions sur de possibles réformes.
- Vous pouvez demander à ce que votre identité ne soit pas publiée même si elle doit être connue de WATHI ; dans ce cas choisissez un pseudonyme et envoyez une biographie qui donne une idée de votre domaine d’expertise ou de votre activité professionnelle.
- Vous pouvez soumettre des articles courts (500 à 1000 mots) ou plus longs (1500 à 2000 mots). La taille maximale des contributions est de 2000 mots. Les articles courts ont cependant plus de chances d’être sélectionnés et publiés par le WATHI. Tous les articles doivent être accessibles au grand public, structurés et soignés.
- Nous vous invitons à accompagner la soumission de votre article d’une biographie de 50 mots maximum et, de préférence, d’une de vos photos de très bonne qualité.
- Envoyez vos articles à partir d’ ici ou à l’adresse: infowathi@wathi.org
- Le Débat se passe aussi sur les comptes Facebook et Twitter de WATHI :
- Because West African youth unemployment is already too high.
- Because West Africa is experiencing a demographic youth bulge. According tothe Population Reference Bureau (http://bit.ly/1B9Nal3 ), there are over 100million youths in West Africa, comprising one third of the population and thatnumber is projected to increase to 218 million by 2050. There are 22.6 millionyoung Africans who are entering the labor market every year and by 2050 thatnumber will increase to 47 million. The young work force should offereconomic opportunities for West Africa but the youth bulge comes withexceptional challenges as well.
- Because the economic growth of West African countries has never beenstronger and parallel to this, the nature of youth employment is constantlyevolving. The lack of job creation is a major constraint on economic growth.According to the African Development Bank (AfDB), African countries areamong the fastest growing economies in the world in 2016 (8.5% for Côted’Ivoire, 6.0% for Nigeria, and 5% for Senegal (http://bit.ly/1Hu9DcT).
- Because when there are no jobs and there is no hope for a better future,youths feel hopeless and it is easier for them to fall under the siren song ofviolence, radicalism, and organized crime. While many violent groups aredriven by ideology, lack of jobs makes it far easier to recruit new fighters. Byemploying youths in productive economic capacities, we not only grow oureconomies, but also prevent further generations from descending intoviolence.
- Because the youth of today will be the leaders of tomorrow. Even the welleducatedcan still find themselves stuck in dead end jobs with no prospect ofusing their skill sets. Good entry-level jobs give workers the training requiredto succeed professionally later on in life.
- Because lack of jobs at home encourages many youths to brave a probable death to search for employment abroad. These are often the youths who have worked in the informal sector at home. Keeping our youth in West Africa can be potentially lifesaving.
- Because youth unemployment is not just a problem with West Africa and that the strategies used here can be used to fight youth unemployment worldwide. High youth unemployment can be found all across the income ladder. According to the OECD, in 2013 Italy, Spain, and South Africa all had youth unemployment levels exceeding 50%. In Spain this high unemployment level led to popular protests under the Indignados (Indignant) label which morphed into the Podemos (We Can) party and is now the third largest party in the Spanish Parliament.
- Government and Macroeconomic Factors
- Are there any structural factors in the economy leading to permanently high unemployment rates? If so, what can be done to change them?
- Are West African countries pursuing national economic growth strategies that will lead to lower youth unemployment?
- Is there a national strategy to fight youth unemployment and how can publicprivate partnerships be enlisted to work on that goal? What are the current public policies of job creation in the countries of the region?
- What are the actual organizations (international and national organizations) dedicated to ending youth unemployment and how effective are they, how can they better do their jobs?
- What are the sectors of the economy that are starving for workers and whatcan be done to orient youth towards employment in those sectors? Are thereany sectors of the economy with a high youth employment rate and cangovernments transfer those models to other sectors?
- How can employment laws be changed to make it easier to hire younger workers?
- Are there any international factors that prohibit governments from tackling youth unemployment?
- Is the private sector following through with its role as the primary job creation engine for the economy and what policies could encourage private enterprises to do more for training and employment of the youths?
- Corruption in the education system: the purchase of diplomas and student assessment scores; the sale of examination subjects; the practice of sexual favors in return for good grades in high schools and universities.
- The impact of the grand corruption in the economies of the region: corruption involving multinational and other large local and foreign companies; corruption in calls to tender and procurements; actual destinations and beneficiaries of the proceeds from corruption.
- Assessment of current means and measures to fight against corruption in the countries of the region; the existing mechanisms and protocols of regional organizations and their effectiveness; good and bad examples in the region regarding anti-corruption efforts, the constraints and limitations of recent initiatives.
- Identification of the priority measures and reforms in the fight against corruption; operational measures that can be taken immediately in the countries of the region; the distribution of tasks and responsibilities in the collective effort, civic actions at the country and regional levels that can have a positive impact on the fight against corruption.
- Contributions by experts in the issues discussed are welcome. So are observations, accounts, opinions, and recommendations from all citizens.
- We particularly welcome articles that refer to one or more specific countries, are based on concrete examples and include recommendations for action and reform.
- You can submit short articles (500-1000 words) or longer ones (1500-2000 words). Although the maximum length of a contribution is 2000 words, short articles are more likely to be selected and published by WATHI. All articles must be accessible to the general public, well written and structured.
- Without having to write a structured article, you can send your comments, observations, and recommendations to infowathi@wathi.org. The most relevant contributions will be published on the website.
- You can also submit a short audio or video recording to share your experiences and concrete reform proposals.
- We invite you to send your article with a 50-word biography and preferably a good picture of yourself.
Focus L’emploi des jeunes, une priorité pour l’Afrique Focus Voxafrica
L’émission Focus de VOX AFRICA reçoit dans cet entretien Mario Pezzini le directeur du Centre de développement de l’Organisation de la Coopération et de Développement Économiques (OCDE). Il aborde la question de l’industrie manufacturière qui n’est pas suffisamment développée dans de nombreux pays africains et constitue un frein à la création d’emploi pour les jeunes. La diversification de l’économie est un impératif pour la création de plus d’emplois.
World Economic Forum on Africa
Talk at the World Economic Forum on Africa on the subject of the normalization of informal employment. They argue that informal employment is the African normal and that workers in the informal sector can still have an important economic role to play. The presenters say that often governments drive workers into the informal sector due to excessive regulations. The speakers present strategies on how to bring more workers into the formal sector.
Quelles solutions pour l’emploi des jeunes au Sénégal
La fondation Roxa Luxembourg basée à Dakar dans le cadre de ses « Samedis de l’économie » a organisé en 2013 un débat intitulé « Quelles solutions pour l’emploi des jeunes au Sénégal ». Les intervenants à cette rencontre furent l’économiste Ndongo Samba Sylla de la fondation Roxa Luxembourg, le président de la Synergie des marchands ambulants (Symad) Moulaye Seck et le coordonnateur du Regroupement des diplômés sans emploi du Sénégal Babacar Ndour.
Entretien avec Lamine Dieng, DG de l’ANPEJ Sénégal
Dans le cadre de la conférence de Dakar sur l’innovation dans la gouvernance de l’emploi des jeunes organisée à Dakar en 2015 par l’Association mondiale des services d’emploi publics, le directeur général de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi des jeunes (ANPEJ) se prononce sur l’emploi des jeunes au Sénégal. Lamine Dieng évoque le lien entre l’innovation et l’employabilité au Sénégal.
Sénégal Economie Africaine: Le défi de l’emploi des jeunes
Le journal de l’économie de TV5 monde s’intéresse au défi de l’emploi des jeunes en Afrique. Selon les indicateurs de la Banque Mondiale, 60 % des chômeurs africains sont « jeunes ». Jean Kacou Diagou, le président des Fédérations des organisations patronales de l’Afrique de l’Ouest (FOPAO) préconise que les jeunes se tournent davantage vers entrepreneuriat et l’auto-emploi.
Les jeunes en Afrique : peut-on répondre à leurs attentes ?
Cette conférence-débat s’est tenue le 2 décembre 2014 en présence d’Annick Girardin, secrétaire d’Etat français chargée du Développement et de la Francophonie, et Anne Paugam, directrice générale de l’Agence Française de Développement (AFD) et organisatrice de l’événement. Elle a réuni des acteurs africains du développement. De nombreuses questions furent débattues notamment : Quelles sont les aspirations des jeunes africains ? Leur donne-t-on les moyens d’être acteurs du développement de leur pays ? Quels rôles pour les gouvernements et les partenaires internationaux afin d’appuyer les jeunes à relever les défis de l’Afrique ? Trois jeunes issus des mondes rural, politique et associatif étaient présents dans un panel pour partager leurs expériences et leurs recommandations.
L’enseignement et la formation techniques et professionnels pour l’emploi des jeunes
Cette vidéo publiée par le Bureau régional de l’UNESCO à Dakar (Sénégal) explore l’importance de l’enseignement et la formation techniques et professionnels pour offrir aux jeunes en Afrique de meilleures chances de trouver un emploi décent.
L’avenir des jeunes africains est sur le continent
Dans cet entretien, Didier Acouetey, président d’Africsearch (un cabinet de recrutement pour l’Afrique et de Conseil en Ressources Humaine basé en Afrique et à Paris) note que malgré une forte croissance sur le continent, les créations d’emplois restent en deçà de ce fort potentiel. La croissance repose encore largement sur le secteur minier, peu pourvoyeur d’emplois sur le continent, à la différence des banques et des télécoms. Selon Monsieur Acouetey, l’Afrique devra combler son déficit en ingénieurs et techniciens, alors que de plus en plus d’Africains occupent des postes de managers.
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Investir dans les secteurs de production qui emploient plus des jeunes. Valoriser les productions pour une rémunération juste et la motivation des producteurs
Lawali Hama
Sortir des théories pour passer à l’action. C’est un fait que dans les pays de la Cedeao, nous consommons des produits finis de plusieurs FILIÈRES dont les chaines de valeurs sont à l’extérieur. En effet chaque famille béninoise, dépense en moyenne 1000 F/mois pour le yaourt et lait, ou la saucisse, ou le riz. Les chaînes de valeurs de ces produits restent au Brésil, en Europe ou en Asie. A savoir les plus values gagnées par la transformation, l’élevage, les céréaliers, les transporteurs et les services transversaux (gestionnaires, comptables, techniciens, ouvriers …). La politique publique doit:– viser la création des conditions de compétitivité aux produits finis industriels déjà présent dans les habitudes de consommation.– structurer la filière qui se met en place toute seule dès que le produit au bout de la chaîne trouve son marché.– Trouver un mécanisme innovant pour les secteurs de l’agriculture, l’artisanat et les NTIC. Notamment la promotion des banques agricoles.– le rôle régalien de contrôle de l’Etat ne doit pas étouffer les entreprises naissantes par des normes, ni les impôts.– Faire la promotion du crowdfunding afin de faciliter l’accès au financement par les start-up.
Sèdami Blaise Hounyo
investir plus dans l’agriculture motoriséeque l’état soit gendarme en constituant lui même des groupes de jeunes qu’il va suivre pendant 2 ans en les initiant à activité agricole puis après leur donner la main lorsque l’état aura fini de recouvrer ce qu’il a investir et quand on vas produire assez nous allons penser â la transformation sur place du reste des productions qui ne serait pas exporté
Paul Mahougnon Amamou
D’abord il faut croire en sa jeunesse, ensuite la motiver puis l’aider à renforcer et réveiller le leadership qui est ancré en elle. Car le leadership ne contribue non seulement à la création d’emploi mais aussi au bon développement d’une nation.
Mariam Yacoub Mahamat
1: sensibiliser la jeunesse a se faire des autos emplois tout en facilitant les financement.2 : encourager la jeunesse a s’intéresse a secteur agricole et agro-bussness tout en trouvant des fournisseurs extérieur et intercontinentale. Aussi faciliter les financements.3 : examiner les dossiers des fonctionnaires et lutter contre la diminution d’âge afin de régler les retraites et donner a la jeunesse.
Sékou Oumar Tidiani Traoré
Simplement mettre en place des politiques cohérentes d’entreprenariats jeunes et des mécanismes de financements compatibles.
Diouf Assane
La favorisation de la création d’emploi pour les jeunes repose sur la formation et le financement des jeunes afin de créer des petites et moyennes entreprises en vue des secteurs porteurs d’économies pour le pays.
Toumany Coulibaly
Very important topic, youths can only be empower by skills training centers and micro financial institutions provide soft loans to enter into productive ventures rather looking for white color jobs, training them as entrepreneurs in various fields, through that unemployment menace will be a story of past.
Demba K. Darboe
create skill jobs and train youths in technology by providing macro finance institutions to make funds available to work, but not official employment
Demba K. Darboe
Let Africa produce the end/finished product of all/almost all d raw materials it have, then Africa will have industries and markets, which are all job industries.
Habib Alie Turay
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